Google Chrome devient le numéro un des navigateurs web !

Chrome est passé devant Internet Explorer au niveau mondial. Ce navigateur web devient ainsi le plus utilisé au monde. Un exploit, réalisé en moins de quatre années.

Depuis son lancement en septembre 2008, le navigateur web Google Chrome ne cesse de prendre des parts de marché à ses concurrents. La preuve, en image, avec ces statistiques issues du site StatCounter (source).
Statistiques des navigateurs sur quatre ans

Numéro un !

Ces dernières semaines, Chrome était le plus populaire des navigateurs au niveau mondial le week-end, Internet Explorer restant le plus utilisé en semaine. Si ce constat reste encore vrai aujourd’hui, Chrome devient maintenant globalement le plus répandu des deux navigateurs.
Sur les trente derniers jours, et à l’échelle du globe, Internet Explorer (33,5 %) gardait la tête du classement opéré par StatCounter, devant Chrome (31,62 %). Sur les sept derniers jours, la situation tourne toutefois en faveur de Chrome (32,52 %), devant son concurrent (32,1 %).
C’est la première fois que l’offre de Google passe devant celle de Microsoft sur une semaine entière. Au vu de la montée du premier et de l’effritement des parts de marché du second, il est fort probable que Chrome devrait confirmer sa place de leader.
Statistiques des navigateurs sur une semaine
Notez qu’en Europe, c’est Firefox qui conserve la première place du podium sur les sept derniers jours (30,69 %), devant Chrome (29,36 %) et Internet Explorer (28,6 %).

Un modèle qui marche

Le modèle de développement adopté par Google, et repris depuis par la fondation Mozilla, consiste à abaisser au maximum la durée séparant la sortie de deux moutures majeures du logiciel. Mécaniquement, ceci permet de réduire le fossé – du point de vue des fonctionnalités – entre deux versions.

Le passage entre deux moutures de Chrome n’a ainsi que peu de chances de rendre cette offre incompatible avec des sites web précédemment supportés. C’est cette caractéristique qui permet à Google d’imposer la mise à jour de son butineur (effectuée de façon transparente et automatique), là où d’autres doivent se contenter de la proposer en option (comme Microsoft avec IE 7, 8 et 9).

À la clé, la possibilité pour les équipes de la firme de se focaliser sur une unique version de Chrome et non plusieurs. Autant de temps de gagné pour les développeurs, qui peuvent ainsi se concentrer sur l’essentiel : l’ajout de nouvelles fonctionnalités et l’amélioration de la qualité du logiciel.
Source : silicon.fr

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