Sourire quand on est au chômage ? C’est possible !

Difficile d’être au chômage et de garder le cap, de ne pas céder aux idées noires et à la dévalorisation. Difficile de passer ses journées à décortiquer, plein d’espoir, des offres d’emploi et de ne pas avoir le moral qui flanche, par instants. Difficile, oui, d’être au chômage. 
Mais voici quelques moyens reconnus pour conserver la tête hors de l’eau …

Croire dans sa chance.
Certes, vu l’époque, il ne se passe pas une journée sans qu’on ne nous rappelle que la crise est partout, qu’il est plus complexe que jamais de trouver un emploi qui ne soit un siège éjectable etc. Pourtant, il ne faudrait pas que s’ajoute à la récession votre dépression : ôtez-vous de la tête l’idée que les recrutements ne se font plus qu’en interne et que seuls les réseaux peuvent vous sauver. C’est faux. Croire en sa chance, c’est demeurer attentif à ce qui se passe, c’est rester en alerte, vigilant et réactif. Gardez le contact avec le marché, épluchez calmement les offres, lisez régulièrement la presse, tenez-vous informé.

Penser sa carrière.

C’est le moment parfait pour dessiner en pensée votre ligne directrice. Faire le point en vous et vous interroger quant aux plans de carrière qui vous satisferaient. N’hésitez pas à faire un bilan de compétences, si vous jugez cela nécessaire à votre élan. Cela vous aidera à mieux définir votre profil et à élaborer un projet professionnel clair, précis et viable. Mettez-vous en relation avec des personnes qui occupent le (les) poste (s) au(x)quel(s) vous pensez. Par ailleurs, si l’entreprenariat vous a, parfois, tenté, pourquoi ne pas y regarder de plus près ? 

Etre heureux pour demeurer efficace.
En période de chômage, il n’est pas rare qu’on perde sa confiance en soi, voire même un peu (beaucoup) de l’estime que l’on se doit. Ne vous laissez pas aller à ces travers (bien compréhensibles, pourtant) ! Gardez-vous des instants de joie, de vrai plaisir. Ne vous coupez pas avec l’extérieur, vos amis, votre famille. Evitez à tout prix l’isolement et le repli. Songez qu’en entretien, votre état mental se sent et que le recruteur choisira instinctivement la personne la plus équilibrée et bien dans sa peau, et cela même si ses compétences sont largement inférieures aux vôtres. 

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